On distingue plusieurs niveaux de nuisibilité en fonction de l’effet direct sur la culture, de la fréquence des attaques ou de leur intensité. Sur la base de ces critères, les ravageurs peuvent être classés en trois catégories : « majeurs », « secondaires » ou « occasionnels ». Le développement des nouvelles technologies et la généralisation du biocontrôle apportent de nouvelles solutions économiquement viables et durables.