Pour l'horizon 2020-2022, la SENuRA projette de tester et développer de nouvelles méthodes alternatives dans le cadre de la lutte contre le Colletotrichum et la Mouche du brou (facteurs sémiochimiques). Une demande de financement est en cours auprès de la Région Auvergne Rhône-Alpes.
Au niveau national, d'autres demandes vont être déposées à FranceAgriMer pour évaluer la méthode carpo TIS, et initier une étude sur les nouveaux pathogènes, en partenariat avec : Université de Gembloux (Belgique), Ctifl, Station de Creysse, LUBEM, INRA, UC de Davis (Californie)