Objectifs du projet
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Renforcer les méthodes et outils de diagnostic du stress hydrique (suivi visuel, chambre à pression,) afin d’obtenir des valeurs quantifiables de tolérance au déficit hydrique et de comparer entre eux différents matériels végétal et pratiques.
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Évaluer de nouvelles méthodes exploratoires du suivi du stress hydrique (mesure de l’ouverture des stomates, l’accroissement journalier de l’arbre, la fuite d’électrolytes, ou encore la surface foliaire)
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Proposer du matériel végétal et des pratiques permettant une meilleure résilience face au stress hydrique.
Résumé
Pour faire face aux déficits hydriques de plus en plus fréquents en AuRA, il est important de choisir un matériel végétal tolérant aux conditions de sécheresse et de faire évoluer les pratiques culturales. Toutefois, les conseillers agricoles manquent de références locales concernant les variétés, les porte-greffes et les espèces les plus tolérants au stress, ainsi que sur les techniques culturales associées à mettre en oeuvre pour augmenter leur résilience. Les organismes expérimentateurs de la région n’ont pas de protocoles de routine pour quantifier cette résistance. Le projet VEGET’EAU a permis de valider le transfert de techniques issues de la recherche vers une utilisation au champ, en expérimentation. Le cycle de vie des ligneux étant relativement long, les partenaires proposent de continuer ce travail pour 1) renforcer les méthodes de diagnostic (suivi visuel, chambre à pression, NIRS), 2) évaluer de nouvelles méthode (dendrométrie, porométrie) 3) Proposer du matériel végétal tolérant à l’issu de 6 années d’expérimentation. Ces méthodes seront appliquées sur des espèces en pépinière ornementale, ainsi que différentes variétés en noyers, vignes et châtaigniers.
Financeurs
Porteur
Partenaires
